Vous entendez parler de Software Craftsmanship autour de vous, de qualité de code et de pratiques de développement propre, cet article va vous aider ! Que vous soyez un directeur des systèmes d’information ou développeurs, le software craftsmanship peut vous aider si vous travaillez sur la culture avant vos outils de développement !
1- L’essence du Software Craftsmanship
Elever le niveau : voilà le credo de ce mouvement moderne.
Par élever le niveau, on entend une importante optimisation des produits délivrés grâce aux services de personnes à la fois talentueuses, impliquées et passionnées par ce qu’elles font.
Au-delà d’une simple volonté de bien réaliser un projet donné, le Software Craftsmanship va jusqu’à instaurer une réelle culture du développement.
Dans un contexte de plus en plus international et donc de plus en plus concurrentiel, il est primordial de continuer à se démarquer de ses concurrents.
Cela est notamment possible grâce au recours à des logiciels et produits apportant une solide valeur ajoutée, ce qui est justement le mot d’ordre du Software Craftsmanship.
2- Des pratiques incontournables recommandées par l’expertise de DC CONSULTANTS
La culture du développement et les pratiques issues du Software Craftsmanship s’appuient sur les meilleurs outils de la technologie moderne.
DC CONSULTANTS, en tant qu’expert, se propose ainsi de vous accompagner dans la sélection des produits et services les plus adaptés à vos besoins propres.
Comme l’affirme le Software Craftsmanship Manifesto : le but est de produire des contenus de haute qualité, ayant une réelle plus-value, impliquant toute une communauté de professionnels et également des partenaires très dynamiques et performants.
Avec ces critères, les atouts du Software Craftsmanship sont divers.
On relève principalement qu’ils permettent d’accéder à des produits et technologies de qualité supérieure à ce que l’on peut trouver sur le marché, conçus par une communauté spécifique de professionnels particulièrement passionnées par leur domaine, et surtout des produits donnant une valeur ajoutée certaine à l’entreprise cliente.
3- Les bonnes pratiques à adopter
Afin de mener à bien cette amélioration qualitative, la première pratique indispensable à adopter est le clean coding.
Par clean coding, on entend la mise en place d’un code facilement lisible et testable, avec une mise en production relevant un nombre faible de bugs.
Grâce à cette bonne pratique, les équipes pourront optimiser leur productivité et diminuer considérablement les risques d’erreurs.
Autre bonne pratique à adopter : le code refactoring.
Ici, il s’agit de bien gérer l’efficacité de ses applications en les rendant adaptables aux changements et corrigeant d’éventuelles failles de code qui bloqueraient une adaptation fluide.
Aussi, pensez à élargir votre culture et vos compétences : pour cela retrouvez notre article sur les Fullstack !